La fierté de cet homme

Bonjour à toutes et à tous ! Voilà : vers 1h du mat', j'ai commencé à écrire cette fiction, dont l'idée me paraissait bonne. Mais étant donné la fatigue, l'écrit n'est pas forcément superbe et il manque pas mal de chose que pour qu'il soit mieux structuré, et étant donné que la fatigue est toujours présente, je me demandais si vous pouviez me donner votre avis sur ce début de fiction, et pourquoi pas, m'aider à mieux le réécrire.

Voili voilou, bonne lecture ~

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Introduction :

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Barbe Blanche, dit l’homme le plus fort au monde, et celui le plus proche du fameux trésor du Roi des Pirates, le One Piece. Cet homme, connu également pour sa gigantesque armada de plus de 1600 hommes, les considérants tous sans exception, comme ses propres fils. Néanmoins, cet homme, si puissant, intelligent, et au cœur tendre, cachait un lourd secret aux yeux du monde. Ce secret était connu que par les commandants de son équipage, et certains membres de ce dernier. Or, il fut un temps où se secret avait été découvert. La Marine, comme toujours. Mais elle n’en avait pas fait par du Gouvernement Mondial, ni du quartier général, tout simplement à cause de l’idiotie et de la naïveté de l’amiral de cette base.

***

Le ciel était d’un gris sombre, tel les murailles qui entouraient la scène. Quelques bâtiments de bons gouts accompagnaient ces murailles, dans un aspect victorieux. Une vague humaine décorait le décor, le remplissant de toute part, et les uniformes des marins essayaient de mettre un peu de couleur à travers cet endroit qui avait tout pour être sinistre. Des personnes étaient à leurs balcons, où tous étaient bondés pour mieux de visibilité. Au milieu de ce tapis d’humains, se tenait un échafaud, d’un bois abimé et noirâtre, relatant tous les crimes qu’il a du commettre. Des trappes, qui étaient fermées, avaient été réalisées dans cet échafaud, prêtent à ouvrir leurs gueules pour dévorer des âmes, peu innocentes. Une poutre horizontale, qui en disait long, munie de cordes, qui formaient un nœud en leurs bouts, rajoutait une touche de charme à cette plateforme qui était tant convoitée. Une masse d’hommes, alignés les uns derrières les autres, attachés aux mains et aux pieds par de lourdes menottes, leur infligent de plus de ce qu’ils avaient reçus, de la douleur et du désespoir, étaient aux côtés de soldats, se tenant prêt, fusils aux mains, d’une quelquonque évasion. Cette rangée d’homme rejoignait, tel le corps d’une chenille jusqu’à sa tête, l’échafaud. Sur ce dernier, se tenait cinq personnes. Mais celles qui attiraient le plus de regards de la part des spectateurs, étaient deux hommes, l’un plus large, grand et robuste que l’autre, ainsi qu’une fillette, se tenant au milieu de cette place de torture.

La petite fille regarda le ciel, de ses yeux ambre, si clairs qu’ils paraissaient presque jaunes. Elle était semblable à une poupée de porcelaine, surement du à son teint laiteux et blanchâtre, et à sa chevelure dorée, pleine de grosses boucles qui avaient toute fois été amochées par toute la souffrance qu’on leur avait fait subir. Le bourreau s’avança vers la seule présence féminine présente sur l’échafaud, accompagné d’un tonneau, qu’il plaça sous elle, après l’avoir soulevée. Tous ne regardèrent que le bout de leur chaussures, ou du moins ce qu’il en restait pour certains, ou leur pieds, pour d’autres. Le désespoir était en train de les engloutir de leurs intérieurs, les poussant à pleurer et à prier Dieu pour certains, une énième fois.
La petite « poupée », sous son air décapité, ouvra la bouche sous la stupéfaction de tous les êtres avoisinants, et commença dans un chant de marin, sinistre et accompagné des sons du clocher de la ville :

- Le roi, et ses pairs, ont enfermés la reine …

Tous, y compris les soldats et les dirigeants de la base, s’étaient tournés vers la fillette, si cela n’avait pas déjà été fait.

- A bord d’un bateau de plomb …

Un bruit sourd et lointain se fit entendre, mais personne n’y prêta attention. Du moins, c’est ce qu’il en paraissait.

- Nous naviguerons, prit par ses pouvoirs … Moi et mes frères, vogueront !...

Un des hommes qui prêtait tant l’attention, le moins large - connu pour ses tenues très élégantes, soignées, et de tons clairs, qui étaient toujours accompagnées d’une fameuse « coupe à la banane « - qui n’avait pas su garder son accoutrement traditionnel, ouvrir la bouche après avoir soufflé sur une de ses mèches rebelles, et continua d’un ton grave et mélancolique :

- Yo, ho, sur, l’heure, hissons nos couleurs !...

Le second homme, à gauche de la petite fille, qui était le plus robuste, avec son visage large, sa grande mâchoire, son teint basané, ses vêtements et son armure qui n’étaient plus en état, reprit lui aussi, de sa voix rauque, grosse et déstabilisante :

- Hissez-ho, l’âme des pirates, jamais ne mourra !...

Cette fois-ci, accompagnant la phrase de cet homme, ce fut tous les autres pirates, ainsi que la petite fille et l’autre homme, qui continuèrent le chant. Dans un ton au départ faible, mais qui finit de plus en plus fort, de plus en plus grave et puissant, accompagné de leur pas lourd qu’ils effectuaient en se balançant de droite à gauche, et en secouant leurs chaines acérant leurs poignés :

- Yo oh, quand sonne l’heure hissons nos couleurs !!

Allant jusqu’au bâtiment principal de la base en courant à toute allure, poussant des civils et manquant de trébucher à de nombreuses reprises, un sergent annonça à son chef :

- Monsieur ! Monsieur !... Ils ont commencés à chanter.

L’interloqué fixait devant lui, dans ses pensées, et lui répondit sans aucune émotion :

- Il était temps.

Pendant ce temps là, les pirates terminèrent leur chant qui stupéfiait, impressionnait et déstabilisait plus d’un :

- Hissez-ho, l’âme des pirates, jamais ne mourra !!

La petite fille, qui venait de finir les dernières paroles, regardait toujours l’horizon, semblable en attente d’une réponse. Un bruit sourd fit sursauter toute la foule, en direction de la mer, comme répondant à la gamine ...

A suivre ~

J'suis toujours autant captivée par ton style d'écriture ! Et j'avoue que j'ai hâte de savoir le secret de Barbe Blanche...

Ah, merci beaucoup, ça me fait très plaisir !
Notamment que j'ai écrit ça à l'arrache ...

Tu verras, tu verras ~

Alors

, je trouve ton "chapitre" excellent, pourquoi ? Eh bien déja tes descriptions s'accordent parfaitement, on est pas déranger par le faite que tu saute des étapes ou quoi que ce soit, ça se lit comme on respire. Ensuite tu n'hésite pas à utiliser un langage propre, j'entends par là que tu utilise des mots qui ne sont forcément beau à voir mais ils sont là est donnent un style particulier à ton texte. Je peux dire encore d'autres choses mais pas intéressant que tu puisse lire :p. Bref c'est génial et j'aimerais savoir si tu avais la possibilité de nous accorder une petite suite Smile

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Salut! Je post tard mais j'aime bien ton style et ton histoire, jusque lá, me rappelle une certaine scène de pirates des caraïbes (mais c'était un garçon). En tout cas c'est très beau. Je remarque juste quelques erreurs de syntaxe au tout début dû à la fatigue; mais j'aimerais savoir si tu as pu écrire une suite?

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