Hyde Empereur des mers
Messages : 2115 Millions de Berrys : 2485 Réputation : 20 Date d'inscription : 26/07/2012 Age : 27 Localisation : Valhalla Emploi/loisirs : Valkyrie
| Sujet: Fan club de Heidi Andersen Sam 11 Mai - 12:24 | |
| Pseudonyme : La Lame de Glace Age: 18 ans Sexe : Femme Race : Humaine
Métier : Epéiste Groupe : Révolutionnaires But : Récupérer l'honneur de sa famille, tuée arbitrairement par le Gouvernement Mondial pour avoir hébergé des gens soupçonnés d'être des Révolutionnaires (inavéré) et retrouver sa petite sœur, vendue par des marchands d'esclaves...
Aptitude : Le Haki de l'armement et sensitif. Équipements : Une épée qu'elle porte dans son dos: Winter Hymn
>> Physique
Tout d'abord, Heidi a de longs cheveux blond pâle, ondulant vers les pointes et toujours coiffés d'un bonnet avec une frange lui cachant le front dont un côté est retenu par deux baguettes. Sa peau est plutôt pâle, voire d'un blanc de craie exposée à une lumière violente. Elle est mince et plutôt grande et porte les séquelles du temps où elle avait été esclave d'un Dragon Céleste avant de s'enfuir ce qui aurait pu lui coûter la vie, ses bras sont fins et ses doigts longs et fuselés. Ses jambes sont éthérées. Ses yeux sont d'un bleu opaque et laiteux, comme on dit souvent que les yeux sont les fenêtres de l'âme... Pour son cas il est impossible de voir ce à quoi elle pense, c'est comme s'enfoncer dans un gouffre sombre et avancer à l'aveugle dans la pénombre. Ce n'est pas une fille dont les émotions se lisent facilement sur son visage, que ce soit la peur, le soulagement, la colère... Toutes ses émotions sont semblables et ne se distinguent pas entre elles. Heidi porte souvent des vêtements sombres et couvrant le plus possible de peau, la plupart du temps une jupe plissée, des bas, une veste, une chemise, des gants et un nœud autour du cou le tout d'un bleu nocturne. Pourquoi ? Les gants et les manches longues servent à masquer les cicatrices autour de ses poignets, comme autrefois, Heidi était enchaînée chaque soir; le ruban autour du cou cache les marques de strangulation, cicatrices qui peuvent disparaître mais comme ce furent des actes répétés encore et encore c'est devenu une séquelle permanente. On pourrait continuer encore à encore à faire l'inventaire de ses balafres, mais elles sont tellement nombreuses qu'on ne ferait que perdre notre temps. Mais il y a également une particularité physique dont peu de gens connaissent l'existence et qui ne doit être négligée par sa gravité: une marque des dragons célestes se trouvant dans son dos, une plaie indélébile que portait, porte et portera sa peau jusqu'à la décomposition complète de son corps... Chose qui a certes imprimé son épiderme, mais aussi son âme.
Lorsqu'elle parle, sa voix est légèrement étouffée, comme si elle ne savait que murmurer. La plupart du temps elle ne dit qu'un mot ou deux avant de se renfermer dans le silence le plus total. Sa marche est discrète, inaudible et souvent on ne remarque pas sa présence. Elle porte une odeur de menthe poivrée qui est comme elle, froide et légère.
>>Psychologie :
Heidi est taciturne depuis sa plus tendre enfance, mais depuis le meurtre injuste et sanglant de ses parents et tous ceux qu'elle connaissait, elle parle encore moins qu'avant. Cet événement lui a laissé un goût amer. Elle a alors développé une sorte de recherche continuelle de la solitude et de peur des autres. Elle préfère errer seule que de subir les moqueries et autres violences psychologiques ou physiques avec les autres, pensant qu'elle en a eu bien assez dans sa vie. Malgré tout cela, bien qu'elle semble être une véritable asociale elle possède de très fortes valeurs telles que l'honneur, la compréhension et l'aide en cas de besoin. Dans un combat elle ne perd pas son temps en bavardages inutiles, préférant en finir le plus tôt possible. Elle a aussi une très forte tendance à dire des choses assez embarrassantes d'une manière simple et fait comme si c'était normal, cette nonchalance peut provoquer diverses réactions. La maturité de la jeune fille est également remarquable puisque pour survivre elle a dû renoncer à son enfance. Malheureusement ce manque de douceur à cause du vol de son passé se fait ressentir aujourd'hui quand elle réagit à la manière d'une enfant pour certains sujets. Sa forte détermination la mène également et la pousse à avancer toujours plus pour retrouver sa jeune sœur adorée, dernier membre de sa famille encore vivant pour qu'elles puissent toutes deux aspirer à un futur paisible, ensemble.
>>Biographie :
Commençons par le début, c'est sur une île de North Blue que Heidi voit le jour, ses parents sont des gens sans histoire, ayant seulement vécu sur cette île, n'ayant jamais voyagé, ne connaissant pas le vaste monde et comme leurs compatriotes, ont à peine vent des événements qui se passent. Bien qu'elle n'ait pas encore eu de drame dans sa vie, c'était une enfant parlant peu, voire pas du tout, renfermée dans son monde et dans des jeux solitaires. Quatre ans plus tard c'est au tour de sa petite sœur, Kari, de venir au monde. Tout de suite, Heidi se sentit très protectrice envers elle et se mit à la protéger. Bien qu'elle avait le sentiment que sa cadette était plus belle, plus aimée et plus souriante qu'elle, elle n'était pas jalouse. Peu à peu, Heidi s'ouvrait un peu plus aux autres, mais seulement quand sa sœur était à ses côtés, sinon, elle restait la même qu'autrefois. Et puis un jour, cette vie tranquille bascula du tout au tout, elle avait alors six ans. C'était un jour tranquille, hivernal, il neigeait à gros flocons. Les deux petites filles se promenaient dans les blancs paysages de leur île natale, sur les falaises près des rivages. Kari courait partout en riant tandis que son aînée rêvassait. "Heidi regarde !" cria la cadette, tirant la grande sœur de ses pensées. Cette dernière se mit à courir pour la rejoindre, avant de la prendre dans ses bras pour la protéger. Des gens en piteux état se trouvaient en contrebas, certains tentaient de se traîner pour demander de l'aide. Leurs corps maigres étaient devenus bleus à cause du froid et tremblaient. Au même moment un gardien du village passait en traîneau. Les deux fillettes l'interpellèrent avant de lui montrer les échoués. Le reste des adultes suivit. La plus grande se rappelle jusqu'à aujourd'hui de gens blessés, que les personnes de son village aidaient pour qu'elles aillent chez le médecin le plus proche. De leurs vêtements en haillons, du sang qui coulait de leurs blessures. "Rentrons..." avait-elle dit à Kari suite à un ordre de leurs parents. Plus tard il avait été décrété que chaque villageois devait héberger un rescapé. Ce fut un grand homme, devenu maigre et barbu par l'épreuve des flots qui fut confié à la famille, il était tellement barbu qu'il ressemblait à un gorille dans les yeux enfantins de Heidi. Cependant, il changea radicalement la vision du monde des deux fillettes qui pensaient que leur île était le centre de tout. Chaque soir il se mettait à raconter ce à quoi ressemblait le monde avec une telle façon que c'en était presque vivant. Les parents craignaient même le fait qu'il soit un magicien tant les visions qu'il donnait étaient fortes. "J'ai un fils du même âge que toi." avait dit le gorille avec un grand sourire à Heidi. "Il me manque beaucoup, mais être sur les océans ne fait que renforcer le lien entre nous et lorsque nous nous retrouverons..." Il s'était tut et s'était mis à regarder par la fenêtre, un grand sourire aux lèvres sous les yeux interrogateurs de Heidi et Kari.
Mais un jour, tout bascula... "LES VAISSEAUX DU GOUVERNEMENT !" cria un villageois. "Que viennent-ils faire ici ?" Les hommes de main du Gouvernement Mondial ordonnèrent à tous les adultes de sortir de leurs maisons. Les parents profitèrent du peu de temps qu'ils avaient pour cacher les enfants. "Ne bougez surtout pas..." intima la mère et le père de Kari et Heidi à leurs filles. Un dernier baiser sur le front et la porte secrète se ferma, laissant les petites filles dans le noir. "Kari, viens..." chuchota l'aînée en prenant la petite par la main pour l'entraîner au bout du tunnel et vers la salle qui servait autrefois de refuge en cas d'attaque. L'air était glacé et le temps semblait durer une éternité. Leurs corps menus frissonnaient à cause du froid. A un moment les deux fillettes entendirent des coups de feu puis des cris. La plus jeune retint son souffle et ralentit. "Kari, nous y sommes presque..." Cependant la cadette ne voulut bouger. "J'ai mal... Aux jambes" haleta-t-elle. Son aînée la prit sur son dos, elle n'était pas très lourde mais pour une gamine de six ans, courir avec quelqu'un dans le dos est quelque chose de fatiguant. La sueur perlait sur son front mais elle ne pouvait pas arrêter maintenant, alors qu'elles étaient si proche de leur but. "Courage..." se disait Heidi. L'image de sa petite-sœur qu'elle se devait de protéger la poussa à avancer. "Je vois de la lumière... Nous y sommes presque Kari." Dans un dernier effort, Heidi courut, elle se tordit la cheville à cause du chemin escarpé mais continuait à courir malgré la douleur. Enfin elles parvinrent à l'abri. Il y avait tous les autres enfants, pas un seul adulte. Les heures passaient dans la grotte souterraine, dans laquelle régnait un silence mortuaire. Heidi était assise dans un coin, Kari en train de dormir sur ses genoux. Un enfant se leva. "Je vais voir si tout est fini." "Non ne pars pas !" tenta de le raisonner un des plus grands. Cependant il était trop tard, le gamin était parti et la grotte retourna dans le plus grand silence. Chaque seconde qui s'écoulait semblait durer une éternité. Au bout de deux heures passées dans le froid des bruits se firent entendre venant d'un des nombreux couloirs qui menaient à l'asile. Kari se réveilla. Ce n'étaient pas les pas d'un enfant, non... Ceux-ci étaient beaucoup plus lourds. D'un des couloirs, le bruit se propagea aux autres. Tous les enfants présents se rassemblèrent au centre de la salle. Des hommes qu'ils n'avaient jamais vu entrèrent de tous les côtés. Ils semblaient être des "Une chance qu'on ait fouillé partout... Regardez ça. Ça pourrait rapporter au marché des esclaves de Sabaody." dit l'un qui semblait être le chef de tous. Des rires accueillirent ses paroles. L'un des hommes lâcha l'enfant qui était parti plus tôt, ce dernier rejoint le groupe. "Qu'as-tu fait ?" murmura un adolescent. Le gamin ne répondit pas. Le cœur de Heidi battait à toute allure, elle avait peur. Elle ne lâchait pas Kari. "Emportez les tous, n'en laissez pas un seul ! Nous les mettrons dans les cales du navire. Leur avenir sera assuré." Des cris d'enfants. Un homme tenta d'arracher Kari des bras de Heidi, cette dernière tint bon, les larmes coulaient sur ses joues pâles mais son visage était déterminé. "Laisse les... Ce n'est qu'une question de temps avant qu'elles ne soient séparée." La cadette se jeta dans les bras de son aînée en tremblant en chuchotant son prénom. Sa sœur la serra dans ses bras en pleurant également pendant que l'homme se mit à les attacher avant de les porter toutes les deux. Elles ne tentaient pas de se débattre, ça ne servirait à rien. Les hommes se mirent en route et ils sortirent. Malheureusement, il y avait à l'extérieur un spectacle désolant que Heidi n'oublierait jamais. La neige tachée du rouge du sang de tous ceux qu'elle connaissait, l'air portait une odeur de mort. "Kari ne regarde pas." chuchota-t-elle. Elle ne voulait pas que l'âme pure et innocente de sa sœur soit pervertie par ces images. Les larmes coulaient. On entreposa tous les enfants dans les cales, ne donnant qu'un morceau de pain et de l'eau. Heidi sacrifiait sa part pour la survie de Kari. Au fil du voyage elle devenait de plus en plus maigre, mais un jour sa cadette l'obligea à manger sa part. Le changement de température se faisait également ressentir. Du froid de leur île natale, les enfants souffrirent de la chaleur, étouffante à ceux qui n'avaient pas l'habitude de ces températures. Le voyage passait avec lenteur jusqu'à leur arrivée à l'Archipel des Sabaody. Là, les enfants enlevés eurent des colliers qui les empêcherait de s'enfuir. "Et si on s'amusait un peu avec avant qu'ils ne soient vendus ?" suggéra un de leurs ravisseurs. "Pas question ! Il faut qu'ils donnent envie d'être vendus." L'heure des ventes approchait et Kari ne lâchait pas sa sœur, elle n'arrêtait pas de pleurer. L'aînée ne pouvait s'en empêcher elle aussi. "Kari... Si jamais nous sommes séparées... N'oublie pas qui tu es et d'où tu viens... Dès que je pourrais, je viendrais te chercher... Tu entends." Heidi avait effleuré le pendentif d'argent que sa cadette portait autour du cou et qu'elles possédaient toutes deux, qui refermait une photographie de leur famille, le dernier souvenir matériel encore intact de leur ancienne vie. Elle déposa un baiser sur le front pâle après avoir écarté la frange ivoire de sa petite sœur. Un homme arriva et prit Kari avec lui après l'avoir violemment arrachée des bras de sa sœur. Cette dernière courut jusqu'aux barreaux de la cellule en tendant un bras avant de se mettre à pleurer à chaudes larmes. D'abord son village, puis ses parents et enfin sa sœur... Il ne restait plus rien de son passé avec elle, exception de son médaillon. Les minutes passèrent. Heidi ne cessait de pleurer et de se demander si elle reverrait Kari un jour. Enfin un homme ouvrit la porte et prit la fillette avec lui. Elle ne se débattit pas, elle savait que ça ne servirait à rien. "ENFANT DE SIX ANS DE NORTH BLUE ! BONNE FORME PHYSIQUE ! NE VAUT PEUT-ÊTRE PAS UNE SIRÈNE MAIS A D'AUTRES QUALITÉS NON NÉGLIGEABLES !" Heidi regarda dans l'auditoire, observa de ses yeux vides ces gens qui se battaient pour la possession d'un être humain. Finalement ce fut un homme ventripotent avec une drôle de combinaison qui l'obtint pour la modique somme de quatre cent cinquante millions de berrys. Il semblait plutôt satisfait de ses achats. C'est avec cet homme-là que Heidi découvrit le vrai sens du mot "enfer". Dès son arrivée dans la maison de son maître on marqua sur sa peau le signe éternel de sa soumission au fer rouge. La jeune fille se souvient encore aujourd'hui d'une vive douleur, l'odeur de sa chair qui calcinait sous l'acier brûlant. Elle se souvient que pour libérer toute sa rage elle pleurait et se mettait à chanter l'hymne de son île natale, comme au temps où elle vivait avec sa famille, en paix tout en caressant son médaillon. Au début de sa captivité elle avait tenté d'enlever le collier qu'on lui avait mis pour éviter qu'elle ne s'échappe mais le doyen des esclaves de la maison lui avait clairement fait comprendre que c'était inutile. "A moins que tu ne veuilles mourir..." avait-il ajouté. Non, Heidi ne désirait pas mourir, du moins pas avant d'avoir sauvé sa petite sœur et l'honneur de sa famille. Trois ans passèrent. Le corps menu de la fille avait déjà eu un bon lot de cicatrices à cause des violences physiques qu'elle endurait. Ce fut un soir d'hiver qu'elle décida de s'échapper, peu importe son sort. Du moment qu'elle partait d'ici. Ce soir là elle n'avait pas été attachée. Elle avait enduit son corps de beurre qu'elle avait réussi à stocker pendant des années et avait révélé le trou qu'elle s'était mise à creuser depuis qu'elle était arrivée là. Enfin, elle arriva à l'extérieur. Le froid l'accueillit, engourdissant son corps maigre, au pire elle mourrait de froid à cause de cette simple tunique de toile qui ne la réchauffait en aucun cas. Le vent soufflait comme lors d'une tempête, cependant la fillette ne cessait de marcher, pieds nus dans la neige luttant contre les bourrasques... A un moment elle tomba à genoux dans la neige et se mit à cracher du sang, elle entendit les chiens du maître de maison à ses trousses. Malgré tout ça elle sourit. Elle se leva non sans mal et regarda l'océan en contrebas avant de jeter un regard derrière elle avant de sauter.
A partir de là, Heidi ne se souvient que d'un néant sombre dans lequel elle nageait. Elle eu alors une vision de ses parents et de Kari avant de replonger dans le noir. Une quinte de toux la sortit du néant. Elle se trouvait dans une salle peu lumineuse, portait des vêtements décents. Elle porta faiblement ses mains à son cou et n'y trouva rien d'autre que la fine chaîne d'argent de son collier, pas la chose qui la suivait depuis trois ans. Elle avait regardé partout dans la pièce et il y avait un homme. Ses yeux eurent l'air de demander "Où suis-je ?" et "Qui êtes vous ?". La personne présente lui dit seulement qu'à présent elle était en sécurité. C'est ainsi que Heidi découvrit l'existence de l'Armée Révolutionnaire, dont les idéaux allaient à l'encontre des règles énoncées par le Gouvernement Mondial. Pour la première fois depuis des années elle eut la foi de continuer... Grâce à ces gens. Elle demanda alors d'une toute petite voix à faire partie des leurs avant de leur expliquer les raisons de son choix. Ce qu'elle avait enduré jusque là, ses souffrances, ses espoirs que lui donnait ce groupe clandestin. Elle leur fit également part de sa détermination, qu'elle serait prête à tout pour parvenir à ses buts.
C'est là que commence son entraînement et son allégeance à l'Armée Révolutionnaire. Peu de temps après les avoir rejoints, elle reçut une épée qui ne la quittera plus jamais: Winter Hymn. Elle subit alors un entraînement intensif autant psychologique que physique.
A présent, Heidi est bien décidée à avancer toujours plus vers son but... Elle est prête à tout pour retrouver sa sœur.
Membres du Fan Club : -Rehad D. Yui -Chachouk
J'espère que ça ne vous a pas trop découragés ^.^''
Dernière édition par Rehad D. Yui le Sam 11 Mai - 12:30, édité 1 fois | |
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Chachouk Empereur des mers
Messages : 4592 Millions de Berrys : 5870 Réputation : 65 Date d'inscription : 22/11/2011 Age : 25 Localisation : Ici. Emploi/loisirs : Canard.
| Sujet: Re: Fan club de Heidi Andersen Sam 11 Mai - 12:27 | |
| Je le trouve très réussi, bravo! Je peux faire parti du Fan Club? | |
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