Alors voici le Zoro/Perona de Nicoloco
La solitude voilà ce qu'elle craignait le plus et voilà ce qu'elle vivait maintenant. Seule sur cette île lugubre. Il y avait bien d'autres ombres sur cette île mais Zoro et Miwahk vivaient ensemble, combattaient ensemble et elle, elle restait toute seule. Les sensations qu'elle avait depuis sont arrivé lui donné l'impression de s’être envoyé un négative hollow à elle même. Elle mangeait peu, ne sortait pas beaucoup de sa chambre et vivait recluse. Lentement la solitude la faisait mourir et tous les soir elle pleurait.
Aucune émotion ne transparaissait de son visage. Seulement l’entraînement comptait pour lui. Il devait devenir le plus fort. Mais tous les soirs il entendait pleurer Perona dans sa chambre. Même lui ne pouvait rester de marbre en entendant ses pleurs. Il était allongé dans sa chambre sur son lit, regardant le plafond. Il n'avait aucun sentiments seulement en apparence mais au fond de lui les pleurs de Perona lui faisaient mal. Il se leva et se rendit dans la chambre de la Princesse des Fantômes. Poussant la porte il entra sans frapper. La jeune femme était allongé la tête dans son oreiller. Elle leva son visage ravagé par les larmes.
«Qu'est-ce-que tu fais dans ma chambre, cria Perona?! Tu es venu te moquer de moi?»
Zoro s'avança et s'assit sur le lit à côté d'elle.
«Je suis juste venu voir si tu allais bien, répondit calmement l'épéiste.»
«Je vais très bien merci, tu peux repartir, répondit la jeune femme de manière agressive.»
Elle ne voulait pas que quelqu'un la voit dans cet état.
«Tu n'as pas l'air d'aller bien. Si tu veux tu peux me parler. Je ne me moquerais pas, promis.»
«Réellement, demanda t-elle relevant la tête avec les yeux remplis d'espoir?»
«Oui je te le jure.»
«Je...je...je me sens seule, commença Perona d'une petite voix. Toi tu t’entraînes en permanence avec Mihawk mais moi je suis seule tout le temps. Personne ne me parle réellement, comme si j'étais transparente. Avant à Thriller Back je ne parlais pas beaucoup mais les zombies me tenaient compagnies un minimum. Vous, je ne vous voit jamais, pas même une ombre au détour d'un couloir. Tous ce que je sais de votre présence c'est la nourriture qui disparaît et un vague bruit de fond. J'existe moi aussi même si je ne suis pas un sabreur qui veut devenir le meilleur et le plus fort!»
La jeune femme termina sa tirade en larme. Sans dire un mots Zoro passa son bras sur ses épaules et la tira contre son torse.
«Pleure autant que tu veux. Je ne partirais pas ne craint rien. Je suis désolé de ne pas avoir réagis et pris compte de ta présence. Cela ne se reproduira plus. Je te le promet.»
«Merci, murmura Perona entre deux sanglots.»
Ils restèrent ainsi une grande parti de la nuit.